Vous connaissez les vêtements fabriqués à partir de déchets alimentaires ? 🍍🥥
C’est de plus en plus répandu et tant mieux puisque ça réduit l’impact environnemental de la création de tissus et de fibres.
La fibre la plus récente est la laine de coco 🥥, fabriquée à partir de la fermentation de déchets de noix de coco liquides mis en cultures avec des bactéries. Ce procédé australien 🇦🇺 requiert peu d’eau en comparaison de la production du coton.
La matière la plus connue est le cuir d’ananas 🍍. Ce simili cuir est d’origine anglaise 🇬🇧 et utilise des feuilles d’ananas 🍃. Les fibres sont décortiquées puis dégommées et transformées en mailles non tissées qui subissent un processus de finition afin d’obtenir une texture similaire au cuir.
La matière la plus primée est le cuir de raisin 🍇. Ce processus est originaire d’Italie 🇮🇹 et consiste à utiliser les résidus de grains et de peaux issus de la transformation du raisin en vin 🍷.
La fibre la plus à la mode est la fibre d’orange 🍊. Également d’origine italienne 🇮🇹, ce processus utilise des déchets industriels d’agrumes.
La fibre la plus innovante est le cuir de pomme 🍏🍎. Elle aussi originaire d’Italie 🇮🇹, elle a été inspirée par le recyclage des déchets de pommes en papier 📜. Le fabricant a ensuite étendu sa gamme au papier kraft, mouchoirs, papier toilette pour enfin aboutir à du cuir.
La fibre la plus douce est créée à partir de protéines de lait 🍼. Encore une invention italienne 🇮🇹 (décidément ces italiens ils sont trop forts), cette technique consiste à récupérer les produits laitiers périmés dans les fermes locales 🐄🐐🐑, à en extraire le lait et à le faire chauffer afin d’en récupérer la protéine pour la transformer en poudre. La poudre est ensuite transformée en fibre pour être tordue, filée et tissée.
Il en existe beaucoup d’autres, comme la soie de bananier 🍌 ou encore les matières non tissées créées à partir de coquilles d’œuf 🐣.
C’est une très bonne chose que des alternatives comme celles-ci soient développées afin de préserver notre environnement 😊💚
#nature #preserverenvironnement
Les déchets alimentaires: la base de nos vêtements du futur


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