Mon histoire
Une réflexion
A la fin de mes années collège, je me suis découvert une passion pour la couture. Après avoir choisi de continuer mes études dans le modélisme, j’ai travaillé pour plusieurs entreprises qui m’ont ouvert les portes du monde de la mode et du textile. Et, pendant ces années, le projet Aboodabi trottait dans ma tête…
Un déclic
Issue d’une famille qui a pour habitude de ne pas jeter les choses tant qu’elles sont réutilisables, j’ai compris que je pouvais appliquer cette méthode à mon propre métier : récupérer tous ces textiles qui partent à la poubelle et leur donner une nouvelle vie. Moi qui n’étais pas en accord avec l’impact écologique que peut avoir le monde de la mode, je venais enfin de trouver la raison d’être de mon métier.
Un concept
J’ai donc décidé de créer mon entreprise sur le concept de l’upcycling : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! » pour reprendre la formule de Lavoisier.
« Rien n’est plus beau que ce qui renaît. »
Mes créations sont des assemblages créatifs de morceaux de tissus, pensés minutieusement et réfléchis pour que tout s’accorde. Tout est donc tout à fait unique. Je crée aussi des modèles sur-mesure.
Pourquoi ce nom de marque ?
C’est un nom à décomposer « à bout d’habits » car je travaille avec des morceaux de vêtements.
« L’élégance d’un geste éthique, le charme d’une seconde vie. »
Le saviez-vous ?
« Sur les 5 milliards de tonnes mises sur le marché, près de 4 millions de tonnes de textiles , neufs ou usagés, sont jetés en europe chaque année. »
Je collecte les textiles auprès de particuliers et d’associations de la région et je les ttrie dans mon atelier à Grenoble. Ensuite, je crée et compose les modèles en mixant les matières et les couleurs pour donner à ces textiles une nouvelle vie qui a du sens et de la valeur. Aboodabi a son savoir-faire français et privilégie le circuit court.
« Upcyclé avec soin, porté avec fierté. »
Il est temps de dire stop à la fast fashion ! Il y a beaucoup trop de matière première sous nos yeux, disponible, qui attend simplement d’être réutilisée : nul besoin de consommer de l’eau et de l’électricité pour créer de nouveaux textiles.
Aboodabi utilise cette matière première existante et laissée de côté, et s’inscrit dans une démarche éthique et éco-responsable afin de respecter au mieux notre environnement.
Arrêtons donc de jeter nos vêtements et textiles et pensons à la seconde vie que l’on peut leur offrir.
Le saviez-vous ?
« La mode émet 1,2 milliards de tonnes de gaz à effet de serre chaque année : un impact plus grand que les vols internationaux et le trafic maritime réunis. »
Aboodabi 